(VOA Thai) นิตยา ปานมาลัยทอง. Miss Nitaya Panmaleythong. First Asian/ Lao American to win the crown. Miss Minnesota USA 2012.
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New Miss Minnesota is first Lao-American to hold title
http://minnesota.publicradio.org
The state will send an Asian-American to the Miss USA pageant next year.
Nitaya Panemalaythong, 26, of Savage was crowned Miss Minnesota last month. The office worker and Normandale College student is the first Asian-American to win the honors, according to pageant producers.
Panemalaythong, whose family is from Laos, was born in a refugee camp in Thailand. In 1986, she moved to the United States as an infant. Her family lived in Minneapolis and North Carolina.
Her bio says her proudest achievement was buying a house last year. Why?
"She and her brother in law support 10 family members, living in that home," the bio says.
Panemalaythong was at first skeptical about entering the pageant, and at 26, she was the oldest contestant in the competition, the Savage Pacer reports.
Par Philippe Clanché (de http://www.temoignagechretien.fr)
La ville de Bussy-Saint-Georges met en place un espace dédié aux lieux
de culte. Deux pagodes, une synagogue et une mosquée vont cohabiter à
partir de 2012.
Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne) est une des villes nouvelles qui
se développent dans l’aire de Marne-la-Vallée. Son expansion
démographique – multiplication par onze du nombre d’habitants entre 1990
et 2005 – n’est pas due qu’à l’exode rural : 50 % des 21 000
Buxangeorgiens sont d’origine étrangère, dont une majorité venue d’Asie.
On y trouve déjà une stèle en hommage aux boat people
vietnamiens, une avenue Yitzhak Rabbin ou un rond-point de Saïgon. La
diversité religieuse a interrogé Hugues Rondeau, maire de la commune
(Parti radical) depuis 1998.
« Les politiques ne peuvent pas faire l’impasse sur le fait religieux,
explique-t-il. Plutôt que de prêter des salles ponctuellement, j’ai
voulu globaliser les demandes des communautés. Après avoir rencontré les
représentants des communautés, j’ai souhaité dédier un espace aux
activités cultuelles et culturelles. »
Cohabitation
L’accueil
des intéressés étant positif, la commune a prévu ce site au cœur du
nouveau parc urbain du Sycomore, aujourd’hui lieu de promenade : 4 000
logements et des commerces sur 70 hectares.
L’an prochain, vont
ainsi voir le jour deux pagodes bouddhistes (taïwanaise et laotienne),
une synagogue et une mosquée. Juifs et musulmans pratiquent aujourd’hui
dans des préfabriqués, tandis que les bouddhistes doivent rejoindre
Vincennes. Les communautés sont invitées à jouer collectif : le parking sera commun, aucune barrière ne séparera les lieux et la mosquée sera édifiée en face de la synagogue.
« Nous
souhaitons que ces bâtiments soient visibles par tous, que la
population perçoive dans les religions un facteur de stabilité et de
rayonnement. Cet espace va aussi attirer du monde chez nous. »
Plutôt
qu’une spécialité culinaire ou un énième festival de jazz,
Bussy-Saint-Georges va disposer d’une vitrine originale : la
cohabitation religieuse. Ce projet, unique en Europe, lui vaut un classement au patrimoine religieux de l’Unesco.
Si
elle a aidé à l’acquisition des terrains aux meilleurs conditions, la
commune, conformément à la loi de 1905, n’a financé aucun des projets.
Mais elle a surveillé de près le montage financier des quatre dossiers,
menés « avec des associations locales que nous connaissons bien », selon
Florent Perez, directeur de cabinet du maire. La pagode Fo Guang Shan a
fait jouer la solidarité de son réseau mondial. La pagode laotienne et
la mosquée sont principalement financées par des dons, comme la
synagogue, laquelle a été soutenue par le Consistoire de Paris.
« Nous avons posé des conditions architecturales strictes.
Nous ne voulions pas de caricatures du fait religieux, mais des formes
compatibles avec notre région et notre culture judéo-chrétienne »,
précise le maire. Ainsi, le minaret de la mosquée sera simplement
suggéré par un petit élancement et la coupole sera discrète. La pagode
Fo Guang Shan est conçue dans le style contemporain, car « nous ne
sommes pas à Taïwan », affirme Hugues Rondeau.
Hormis quelques voix d’extrême-droite opposées à la mosquée, le projet n’a pas rencontré de contestation.
Thidalad VONGSILI, 19 ans, 1,70 m , est la nouvelle MISS LAO 2012 (Élue en novembre 2011) > VOIR les PHOTOS ICI !
Thidalad Vongsili, 19, 1.7 metres, is the new Miss Lao 2012 > SEE PHOTOS HERE !
The opening ceremony of the 3rd Thai-Lao Friendship Bridge - Nakhon Phanom et Tha Khaek Khammuan.
Le troisième pont de l'Amitié Thaïlande - Laos reliant Nakhon Phanom et Tha Khaek Khammuan au Laos, cérémonie d'ouverture du 11 novembre 2011.
Un étranger peut acheter des terres au Laos (13/09/11).
D'après cette vidéo de la télévision thaïlandaise, le gouvernement laotien a approuvé la loi autorisant les investisseurs étrangers à acheter des terres pour construire un lieu d'habitation ou une usine.
Les étrangers qui investissent au moins 500 000 dollars au Laos seront autorisés à acheter au maximum 800 mètres carrés de terres directement de l'État, mais il est interdit d'acheter des terres aux particuliers ou aux entreprises.
Foreigner can buy land in Laos (9-13-11). Lao government approved the law permitting foreign investors to purchase land for residential or factory use last year. Foreigners who have invested at least 500,000 dollars in Laos will be permitted to purchase a maximum of 800 square meters of land from the state, but are prohibited from purchasing land from individual Lao citizens or enterprises.
De son périple au Laos, cet été, Yann-Armel Huet, journaliste et
carnettiste, a ramené une série de dessins et d'aquarelles. Une
magnifique invitation au voyage ! La spontanéité de ses croquis,
sensibles, justes, m'a conquise. J'ai adoré redécouvrir l'Asie du
Sud-Est à travers son regard.
Paradise Now in Laos
Journaliste à Ouest-France, mon
confrère Yann-Armel Huet est un baroudeur dans l'âme. En voyage, il aime
prendre son temps, s'imprégner des lieux et des ambiances, aller à la
rencontre des gens. Il a très gentiment accepté de me raconter son
dernier périple, au Laos ; de me parler de sa pratique du dessin en
voyage ; et aussi d'évoquer ses précédentes incursions en Chine, au
Cambodge, qui ont forgé son tempérament de voyageur.
J'intègre
ci-dessous un mini-diaporama et quelques pages de son carnet du Laos. Il
a mis ce recueil de dessins en ligne (avec d'autres) sur FlickR. Je
vous invite à vite le découvrir, surtout si, comme moi, vous aimez
l'Asie du Sud-Est ! ► VOIR TOUS LES DESSINS, en grand format : Paradise Now in Laos
Pourquoi le Laos
« Je voyageais avec une personne dont
c'était le premier grand voyage. Et il fallait une destination lointaine
sans être trop abrupte. J'ai tout de suite pensé au Laos : un pays
rural, pas trop touristique et dont le calme et la gentillesse des
habitants sont légendaires.
En 1998, j'avais déjà passé deux mois
au Cambodge : un éblouissement de l'œil. Et regoûter à l'Asie du
Sud-Est semblait parfait. Il n'y avait pas d'autres raisons.
Contrairement à d'habitude, je n'ai pas non plus cherché à me renseigner
plus que ça sur le pays. J'avais envie de dérive les mains dans les
poches… »
Revoir le Mékong
« J'ai revu avec plaisir le Mékong. Le
grand fleuve a toujours été dans un coin de l'œil pendant le voyage. À
Vientiane. À Luang Prabang. Et puis en bateau jusqu'à Huay Xai. Nous
avons pratiquement terminé notre voyage en échouant à Chiang Khong, une
étrange ville-frontière de Thaïlande. Une rue, des maisons de part et
d'autre. Le Mékong. La lenteur. La chaleur. Le sentiment de n'être nulle
part mais d'être arrivé au bon endroit. On devait y passer une nuit. On
est resté cinq jours.
Un journaliste suisse rencontré sur le bateau a organisé une soirée avec des écologistes thaïs et le correspondant de The Economist
en Asie du Sud-Est. Ils nous ont donnés de nombreuses clés. Nous ont
alertés sur ce qui se passait avec le Mékong : les effrayants projets de
barrages, la disparition des poissons, la corruption des États, la
destruction d'un écosystème et d'une économie, la folie de l'argent, les
risques de guerre. On a passé une soirée lumineuse à refaire le monde
sur un balcon dominant le fleuve. »
Depuis 2008, la FAO recommande de consommer des insectes plutôt que de
la viande. Avec la constante augmentation de la population mondiale, la
viande risque, en effet, de manquer dans les années à venir. En France,
le business entomophage est déjà lancé. Les français commencent à s’intéresser aux insectescomme source de protéine.
Une mère avec sa fille sur le dos à Ishinomaki, au nord-est du Japon, après le tsunami de mars dernier.
(AFP)
Une blague circulant depuis le tsunami au Japon - "Plus il y a d'eau,
moins il y a de jaunes" - va conduire un Toulousain de 16 ans devant le
tribunal de police de Toulouse, a indiqué aujourd'hui son avocate.
Le jeune homme d'origine antillaise, qui se défend de toute intention
raciste, a déposé dans la boîte aux lettres d'un Laotien un papier sur
lequel il avait écrit à la main: "Connaissez-vous la blague du tsunami
et du pastis ? Plus il y a d'eau, moins il y a de jaune".
Le destinataire du courrier a porté plainte et les policiers sont
remontés jusqu'au lycéen de 16 ans qui a reconnu les faits. L'adolescent
est convoqué le 14 octobre pour "injure non publique à caractère
racial" et risque de devoir payer une amende ou des dommages et intérêts
à la victime présumée, à moins qu'il ne fasse l'objet d'un simple
rappel à la loi.
"Ca m'étonne qu'on poursuive quelqu'un pour cela, à l'heure où les
tribunaux sont surchargés. La plainte a été retenue alors que ce n'est
pas forcément le cas pour des dénonciations de violences qui aboutissent
sur une main courante. C'est un peu fort de café", réagit l'avocate
Frédérique Knopf Silvestre.
Selon elle, il n'y avait pas de haine dans le message, qui ne se voulait
pas blessant. Si cet acte a pris une telle tournure, dit-elle, c'est en
raison d'un conflit entre le Laotien et son voisin, un ami de
l'adolescent.
Cet ami du lycéen avait eu une altercation verbale avec le plaignant.
"C'est une blague d'adolescent. Si les blondes portaient plainte contre
ceux qui racontent des blagues sur elles, que ferait-on ?" interroge
l'avocate.
Dans leurs chansons, les artistes thais s'expriment par rapport aux mouvements des "Chemises rouges" et des "Chemises jaunes" en Thailande en disant qu'ils ne sont ni pour les uns ni pour les autres. Je suis d'accord avec eux d'avoir pris cette position ! Regardez les vidéos :
In their songs, thai artists express themselves in relation to the movements of "Red Shirts" and "Yellow Shirts" in Thailand saying they are neither for one nor for the other. I agree with them for taking this position ! See vidéos :
Le grenier à riz du sud-est asiatique sous les eaux
De Tang Chhinh Sothy (AFP)
– 06/10/2011
VIDEOS :
PEA RANG — Des inondations monstres ravagent les rizières d'Asie du
sud-est, dont celles des deux premiers exportateurs de la planète,
fragilisant des paysans déjà en difficulté et faisant craindre une
nouvelle poussée des prix de la précieuse céréale.
Environ 1,5
million d'hectares de rizières ont été détruits ou sont en danger de
l'être en Thaïlande, au Vietnam, au Cambodge et au Laos suite aux pires
inondations depuis plusieurs années.
Rien qu'en Thaïlande, premier
exportateur mondial, où 244 personnes sont mortes depuis deux mois,
environ un million d'hectares - soit 10% de l'ensemble des rizières du
pays - ont été endommagés.
"L'ensemble de la région va désormais souffrir de la hausse des prix
alimentaires puisque les récoltes potentielles ont été dévastées", a
relevé Margareta Wahlstrom, représentante du secrétaire général de l'ONU
pour la prévention des catastrophes.
"Les dégâts sont très
importants cette année et il faudra du temps pour que les gens
reprennent une vie normale", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Le
cours du riz est déjà menacé par la volonté annoncée du gouvernement
thaïlandais de subventionner les prix à la hausse en faveur des
producteurs. Mais il sera aussi touché par les inondations qui gagnent
une autre région clé de la production rizicole: le delta du Mékong, dans
le sud du Vietnam.
Cette zone extrêmement fertile, où les paysans
assurent jusqu'à trois récoltes par an, représente la moitié de la
production du pays communiste, deuxième exportateur mondial.
Les autorités vietnamiennes indiquent qu'onze personnes ont été tuées et 27.000 maisons inondées.
Quelque
6.000 hectares de riz sont perdus, 99.000 de plus sont menacés, pour
partie après des pluies anormalement fortes chez ses voisins en amont du
delta, mais aussi selon certains experts à cause de systèmes de digues
inopérants.
"En amont, les eaux ont commencé à baisser un peu
mais ici, elles montent de 3 à 5 centimètres par jour", a indiqué Duong
Nghia Quoc, directeur du département de l'agriculture de la province de
Dong Thap, l'une des plus touchées.
Dans la province voisine d'An
Giang, des milliers de soldats ont été mobilisés pour renforcer les
digues et aider les populations en danger à se mettre à l'abri.
"La
production agricole est très affectée cette année par les inondations
qui ont été, en réalité, pires que prévues", a admis Vuong Huu Tien, du
centre départemental de gestion des catastrophes d'An Giang.
Au
Cambodge, tampon entre les plaines thaïlandaises et le delta du Mékong,
plus de 330.000 hectares de riz sont inondés dont un tiers sont
détruits, selon le ministère de l'Agriculture, qui craint que ses
objectifs d'un surplus de 3 millions de tonnes cette année ne puissent
être atteints.
Le pays, qui déplore 160 morts, n'exporte qu'une
petite partie de sa production rizicole, mais celle-ci représente 7,5%
du PIB. Et les villages auront du mal à supporter les pertes.
"Quand
je trempe les mains dans l'eau, je ne sens que de l'herbe, pas de riz",
a expliqué à l'AFP Nou Nem, paysan du village de Pea Reang, dans l'Est
du pays. "Beaucoup de rizières ont été détruites. Je suis sûr qu'on va
manquer de riz l'an prochain".
Quant au Laos, l'un des pays les plus pauvres du continent, il a déploré
la mort de 23 personnes avec le passage des tempêtes tropicales
saisonnières depuis le mois de juin, et plus de 60.000 hectares de riz
ont été engloutis.
Les univers du Vietnam, du Laos et du Cambodge du temps du protectorat français sont à découvrir au Parc floral de Paris.
PARC FLORAL DE PARIS, du 30 septembre au 1er octobre. Entré libre de 10h à 18h.
En écho, présentées sur un support aérien
dans chacun des pavillons, d’immenses épreuves de clichés réalisés par
le photographe Francis Fanelli porteront sur les peuples, les paysages,
les cités du Laos. (Francis Fanelli)
Vietnam, Laos, Cambodge : ces trois fabuleux royaumes
placés bon gré, mal gré sous le protectorat de la France ou plus
simplement réduits à l’état de colonie, allaient peu à peu former ce
qu’on appellera l’Indochine dès le règne de Napoléon III. Lire suite...
"Fête, opium et aventures : vacances à haut risque dans le triangle d'or". En quelques années, Vang Vieng est devenu la destination phare pour tous les jeunes touristes occidentaux qui voyagent en Asie. Et si ce petit village perdu du Laos, en dehors de tous les circuits touristiques, est devenu un "must", ce n'est pas à cause de ses temples... >>>REVOIR LA VIDÉO ICI !<<<
Adresse : Gymnase Maurice Herzog - Bld du Genets - Bussy St Georges (77) Les dates pour l'année 2011-2012 de 15H00 à 18H00 :
- Dimanche 18 septembre 2011
- Dimanche 2 et 16 octobre 2011
- Dimanche 6 et 20 novembre 2011
- Dimanche 4 décembre 2011
- Dimanche 15 et 29 janvier 2012
- Dimanche 5 février 2012
- Dimanche 18 mars 2012
- Dimanche 1er avril 2012
- Dimanche 13 mai 2012
- Dimanche 10 et 24 juin 2012
Vidéo 1 : AFP - Pour lutter contre la malnutrition chronique de sa population, le Laos, en coopération avec l'agence de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), tente une expérience inédite: développer l'élevage des grillons ou des vers de farine. Ces insectes très riches en protéines et faciles à multiplier sont vus comme un espoir dans le pays communiste où près de 40 % des enfants de moins de cinq ans sont mal nourris.
Vidéo 2 : AFP - Troqueriez-vous votre entrecôte contre une salade de sauterelles? Pas évident... Pourtant, les insectes pourraient être une solution pour nourrir le monde, selon une étude réalisée par des chercheurs néerlandais.
Vidéo 3 : VIA DECOUVERTES Production "Au Laos, tout ce qui bouge se mange, sauf les bicyclettes ! Scorpions d'eau, punaises géantes, araignées, larves et cafards. Tout y passe. Comme 3000 ethnies à travers le monde qui mangeraient plus de 1400 espèces différentes, les laos se nourrissent d'insectes. Ils sont entomophages. Mais comment donc, ces larves et ces insectes arrivent-ils sur les marchés, dans les assiettes. Au-delà de l'exotisme du mets, la promesse est celle d'un voyage. On remonte la filière à la rencontre de ces hommes et ces femmes qui font le commerce, chassent et récoltent les insectes. Une partie provient de la forêt où chacun y va de sa technique. Une autre des élevages et des fermes qui fournissent les marchés locaux. « Vous goûterez bien ma punaise d'eau ? ». Réalisation : Christophe COUSIN - Images : Valentin CARON - Chef monteur : ANNE ROCHEFORT -