Google today announced it has added its 65th language to Google translate:
Lao. A quick check shows the new language (currently in alpha) is
indeed available on the new service, although it’s not yet offered in
Google Chrome’s built-in translation feature.
Google took the opportunity today to emphasize its Translate team is
“constantly working to improve automatic translations,” including
collecting new data, tweaking algorithms, and improving the
grammaticality of translations. This is for languages available since
day one, all the way up to languages that have yet to be added because
they don’t meet the search giant’s “launch standards.”
Obviously Lao has met Google’s expectations, otherwise it wouldn’t be
available now (see the screenshot above). Nevertheless, the company
says “translation quality is at the lower end compared to that of other
languages we offer” and that the Lao option will fail in situations
“where more precise translations are needed.”
If you know Lao, the company is thus asking for your help. You can contribute in two ways: provide alternate translations by clicking on words or phrases of the translated sentence and use the Google Translator Toolkit to upload translations.
If you don’t know anything about the Lao language, here’s a short excerpt from Wikipedia:
“Lao or Laotian is a tonal language of the Tai–Kadai language family.
It is the official language of Laos, and also spoken in the northeast of
Thailand, where it is usually referred to as the Isan language.”
Lao Holdings et sa filiale à 100 % Sanum Investment Ltd ont lancé vendredi dernier un site web dénommé www.shameonlaos.com.
On
y
trouve des informations à propos de l'action engagée sur la base des
traités internationaux contre le gouvernement de la République
démocratique populaire lao en vue de mettre fin à la saisie, que nous
jugeons illégales, par celui-ci d'un bien d'une valeur supérieure ou
égale à 400 millions de dollars, ainsi qu'à la révocation par le
gouvernement d'autorisations accordées à des projets dont la valeur
aurait également représenté des centaines de millions de dollars.
« Nous voulons que le public constate les comportements contestables du gouvernement laotien », déclare Jody Jordahl, président de Sanum. « Nous
ne
sommes pas seulement préoccupés par les conséquences de cette conduite
pour nos nombreux salariés et pour nous-mêmes. Nous nous inquiétons de
ce qu'elle signifie d'une manière générale pour les investissements
directs étrangers au Laos, dont le pays et ses habitants
ont pourtant le plus grand besoin. » « Nous invitons les gens qui se
sentent scandalisés ou déçus par ces événements à contacter les ministères concernés pour leur dire ce qu'ils en pensent. » «
Nous avons investi de bonne foi sur le territoire de la RDP Lao »,
ajoute M. Jordahl. « Nous avons cru le gouvernement quand il disait
vouloir respecter la primauté du droit. Nous avons créé l'une des plus
grandes entreprises du Laos et créé des milliers d'emplois pour le
peuple laotien. Alors que notre succès fût avéré, il a décidé de nous la
prendre. C'est un cas patent de rupture par un gouvernement de ses
promesses de protection des investisseurs étrangers contre la cupidité
et l'exploitation. Si ces gens nous ont fait cela, ils sont capables
d'en faire autant avec n'importe quel investissement direct étranger. »
Sanum
Investment
Ltd a été amené à investir en RDP Lao parce que gouvernement
de celle-ci promettait de protéger et de sécuriser les investissements
étrangers grâce au respect infaillible de la légalité par les autorités
locales. La société a commencé à investir des capitaux supérieurs à 85
millions de dollars il y a cinq ans. Si le gouvernement n'avait pas
modifié sa façon de traiter Sanum, cet investissement vaudrait plus de
500 millions de dollars aujourd'hui.
Conformément aux traités de
protection des investissements signés par le Laos au bénéfice des
investisseurs étrangers, de tels litiges relèvent d'un arbitrage
international. Le cas Lao Holdings sera confié au Centre international
pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI),
organisme indépendant qui appartient au groupe de la Banque mondiale. Le
cas Sanum Investment sera traité par un tribunal ad hoc comme le prévoit
la convention applicable. Les deux tribunaux seront composés chacun de
trois arbitres ayant autorité pour imposer aux États en infraction le
versement de dommages-intérêts exécutoires.
Sanum
Investments, Ltd. est une société d'investissement, de promotion
immobilière et de développement commercial dont le siège se trouve à
Macao, en Chine. Sanum se consacre principalement à des projets
d'aménagement en République démocratique populaire lao (Laos) mais est
aussi engagée dans la réalisation de plusieurs ensembles immobiliers à
Macao.
Le chef de l'Etat de la Corée du Nord, fonction purement honorifique, va se rendre au Laos et au Vietnam, indique aujourd'hui l'agence officielle nord-coréenne, pour vraisemblablement renforcer les liens diplomatiques et économiques avec ces deux pays eux aussi communistes.
Kim Yong-Nam "va bientôt effectuer un voyage d'amitié" vers ces deux pays, a indiqué KCNA, sans donner de date. Une délégation économique du gouvernement laotien a achevé vendredi une visite à Pyongyang, la capitale nord-coréenne, qui avait reçu une délégation vietnamienne début juillet.
Kim Yong-Nam occupe les fonctions de chef de l'Etat de Corée du Nord mais n'en est pas le président, un titre occupé par Kim Il-Sung, le fondateur de la Corée du Nord mort en 1994. Il a été désigné "président éternel". Kim Yong-Nam s'était rendu à Singapour et en Indonésie en mai.
01. Got To Get You Into My Life (by Sir Paul McCartney)
02. We Can Work It Out (by Stevie Wonder)
03. Drive My Car (by Jonas Brothers)
04. Mother Nature's Son (by Jack White)
05. The Long And Winding Road (by Faith Hill)
06. Blackbird (by Herbie Hancock and Corinne Bailey Rae)
07. Penny Lane (by Elvis Costello)
08. For No One (by Emmylou Harris)
09. Celebrations (by Lang Lang)
10. Band On The Run (by Dave Grohl)
11. Ebony And Ivory (by Stevie Wonder and Sir Paul McCartney)
12. Michelle (by Sir Paul McCartney)
13. Eleanor Rigby (by Sir Paul McCartney)
14. Let It Be (by Sir Paul McCartney)
15. Hey Jude (by Ensemble of artists, with President Obama)
16. Yesterday (by Sir Paul McCartney)
Séries thaïlandaises ou films de propagande communiste, voilà le choix qui s’est longtemps offert aux Laotiens. Mais une jeune génération de cinéastes écrit aujourd’hui une nouvelle page du septième art.
[...]
Pour tourner un film, les cinéastes doivent obtenir une autorisation. Tout en préparant Plai Tang, Anysay a déposé sa demande. Dans un premier temps, il a essuyé un refus parce que le scénario contenait des scènes violentes. Le réalisateur a fait appel, au motif qu’il s’agissait simplement d’un film d’étudiant, présenté comme mémoire à ses professeurs et non destiné au public. Les autorités lui ont alors donné leur feu vert, et, de fait, le produit fini leur a plu, rapporte Anysay. A tel point que le département du film lao a même autorisé la sortie en salle, à condition que le metteur en scène modifie l’épilogue et floute toutes les images d’armes à feu. “Les autorités se sont rendu compte que le film ne faisait pas l’apologie de la violence, elles ont fait preuve d’ouverture d’esprit, se félicite Anysay. Mais j’ai été prié de changer la fin, de manière que le méchant aille en prison. J’ai obéi parce que je voulais que mon film soit projeté dans les cinémas. C’est le premier long-métrage lao à montrer des hommes tatoués, portant des boucles d’oreilles et maniant des armes à feu, ainsi que des scènes de bagarre.”
Comme la plupart des Laotiens, Anysay a grandi avec des films et des feuilletons pour la plupart venus de l’autre côté de la frontière [de Thaïlande]. Comme le public thaïlandais, estime-t-il, ses compatriotes raffolent de comédies, de films d’action ou d’horreur, qui constituent le quotidien à la télévision nationale et dans les rares salles obscures du pays. Mais la Lao New Wave attribue le mérite de la renaissance actuelle à une œuvre marquante, la comédie sentimentale de 2008 Sabaidee Luang Prabang (Bonjour, Luang Prabang), du Thaïlandais Sakchai Deenan. C’est une coproduction de sociétés thaïlandaises et laotiennes. Comme il se doit, Ananda Everingham y tient la vedette. Il joue le rôle d’un photographe métis laotien qui sillonne le pays et tombe amoureux d’une Laotienne. “C’est bien mieux maintenant de voir des cinéastes laotiens faire des films laotiens, se réjouit Sakchai. Il règne un climat plus ouvert, même si je m’inquiète de la taille du marché. Le public n’est pas assez nombreux pour que cela devienne rentable.”